samedi 30 novembre 2013

Il est temps de grandir !!! La vie peut être belle ! A nous de s'en donner les moyens...



Un pèle-mêle… 
En vrac, j’expose mes ressentis de l’instant. Pas forcément de liens entre une pensée et une autre, même si il existe un fil qui relie le tout. J’aborde différents sujets au gré de mon inspiration.
Un flou apparent avec ces accents de vérités… Je ressens le besoin de me débarrasser d’une vue confuse qui draine encore des pensées sur l’existant archaïque qui ne me concerne plus. Il est bien difficile de respirer sa vérité quand on vous insuffle un  oxygène saturé d’illusions…
Comprendre d‘où nous vient notre fébrilité, notre manque de confiance en nous, les conséquences de notre dépendance... J’en viendrai ensuite à exposer une vue qui s‘oppose à une réalité acceptée. Pour finir développer une théorie toute personnelle sur nos origines et le sens de nos incarnations. (cela n'engage que moi...) 
L’écriture me permet de finaliser une compréhension pour ensuite, passer à autre chose.
Ne vous méprenez pas ! Les apparences sont trompeuses. Je suis un passionné et un amoureux de la vie...
Cela ne doit pas occulter une vue lucide sur l'existant... Une envie de bousculer l'ordre établi. 
Un ami sous forme de boutades se plaisait à me questionner : Elle est pas belle la vie ? A cela je répondais et réponds toujours... Elle est merveilleuse la vie !!!!!!!!!!


Accrochez-vous ! Car dans cet article, je fais fort !

Comprendre pour changer notre état d’Être. 
Dans notre vie, notre quotidien, nous sommes soumis à des contraintes. 
Ce qui nous apparaît comme indépendant de notre volonté l’est-il vraiment ?

Le « subir » est omniprésent dans notre vie. Dans notre enfance nous subissons une éducation. Nous ne choisissons pas les règles que l’on nous inculque. Il en est de même pour l’instruction. Il y a une même ligne directive pour tous. Que les matières scolaires vous correspondent ou pas, que la façon d’enseigner soit la mieux adaptée pour vous ou pas, vous devez, enfant, vous plier aux exigences des adultes. Inconsciemment, un enfant imprime dans son psychisme le ressenti du subir incontournable. Cela le suivra toute sa vie.. 
Tout au long d’une journée un enfant est rappelé à l’ordre. On lui dit ce qu’il faut ou ne faut pas faire. Cela pendant des années… Ce formatage imprimera un traumatisme inconscient qui lui donnera cette prépondérance à être sous le ressenti d‘une autorité qui lui impose et qu‘il ne peut éviter... Une dépendance qui sous-entend de possibles sanctions. S’installe le manque de confiances en soi. Obéir, se soumettre à des règles que nous n'avons pas choisies...  
L'enfant est malgré lui, conditionné. Ses ressentis faits d’obligations et de dépendances seront entretenus toute sa vie par une société qui impose. Un conditionnement qui atrophie la liberté de l’esprit… Pour compenser la dépendance ressentie, on cultive le « tout prévoir ».
Adulte, le ressenti de dépendre de quelque chose, (une institution, un système, une société) ne vous permettra jamais de vous sentir libre. Vous ne pourrez, par conséquences, jamais atteindre un état d’Être accompli… La dépendance implique le subir,  voir la frustration. L’épanouissement de l’Être est ainsi handicapé.    
Dans notre quotidien on est exposé à divers situations, divers événements qui s‘imposent. D’une certaine façon vous vous sentez dépendant des événements qui se présentent. Les faits se présentent, sont là, et il vous faut faire avec... 
Vous subissez certains événements car vous considérez qu’ils vous sont imposés, sans que vous y soyez pour quelque chose. Une évidence: vous n’y pouvez rien !!!
Faux !!! Vous créez votre réalité ! Sans ce formatage imposé depuis l’enfance, vous auriez une approche différente. Une approche où il vous serait plus facile de comprendre que vous créez votre réalité. Vous n’avez pas idée de la puissance de vos pensées… Quelques soient les situations susceptibles de se présenter, si vous êtes dans un état qui valorise ce que vous vivez, dans une confiance absolue, la situation ne sera jamais décevante. Comprenez pourquoi j’insiste sur la confiance. Il y a en premier lieu la confiance en vous qu‘il vous faut retrouver. Cette confiance en vous, vous amènera inéluctablement en une confiance dans les événements qui sont susceptibles de se présenter. Arriver à ne plus avoir de doutes ! C’est cela ne plus être dans la dualité !!! Si inconsciemment vous décidez de subir vous subirez. Si vous décidez consciemment que tout va bien et que rien de négatif peut vous arriver, il n’y aura pas de négatif. 
Être dans cette assurance et cette confiance inébranlable est très difficile. Il y a toujours le doute qui traîne dans notre esprit (la dualité). C’est un travail de longue haleine, mais accessible. Notre forme de pensées nous l’avons créée. 
Dans une volonté de déformatages, faire le chemin inverse, déstructurer l’édifice du doute pour asseoir définitivement dans notre esprit, les bases d’une confiance absolue…       

Du lourd, du très lourd. Serez-vous capable de me suivre ? Me suivre sans angoisse ? Reconnaître ce qui est. Ouvrir la voie à une autre approche, un autre possible. Un pavé de vérités dans une mare d‘illusions. Les soubresauts d’une conscience qui cherche à s’extraire du formatage qui l’enchaîne.
« Ce qui importe ce n’est pas d’adhérer à mes vues, mais les réflexions qu’elles sont susceptibles de vous inspirer… »    

ÊTRE ! un challenge. Relever le défi ou se résigner…

Le « c’est comme ça, on ne peut rien y faire ! » montre clairement où nous en sommes dans le degré de résignations. 
L’enfance, l’adolescence… un produit destiné à l‘asservissement. Un objectif non dissimuler de manipulations et d‘exploitations. Faire de vous un label consentant d’adultes qui fait allégeance à un devoir de soumissions…  
Avec le temps le formatage a laminé et produit ses effets. Ce formatage a fini par avoir raison d’une autre vision de la vie. On passe de l’humain à l’homme, produit de la société. Cet homme façonné, s’investit pleinement dans le système existant. Il s’est résigné. Pense qu’il n’a d’autres choix. Il épouse le système et cherche à tirer son épingle du jeu. Un taux de réussites variables. Pris dans cet engrenage, il lui faut subir toute la pression du système. Combien de frustrations dans une vie ??? Cet hybride dénaturé, peut-il réagir ? Peut-il s’éveiller ? Peut-il prendre conscience qu’il est manipulé, exploité ? Qu’il est bien autre chose qu’un produit destiner à enrichir une toute petite minorité ? (dans ce constat la notion de subir est on ne peut plus présente)
Son évolution doit-elle en passer par ces expériences ? Expérimenter le système pour en mesurer les bénéfices mais aussi les lacunes… Quand reconnaîtra-il l’humain qui est en lui ? Jusqu’où est-il prêt à s’abaisser, se renier ??? 
Quand il aura dépassé le cap de ses expérimentations, viendra le temps de la remise en question. La prise de conscience que ce n’est pas ce système qui lui apportera des réponses sur une vérité existentielle. Quand il en sera aux derniers soufflent de sa vie, quels sens donnera-t-il à la notion d’avoir et de posséder ? Est-ce que ses dernières pensées seront pour les biens accumulés ? Ou pour l’amour ressenti ? L’amour des siens, l‘amour de la vie… Ce potentiel d’amour bien présent en lui, lui fera réaliser qu’il ne s’est pas suffisamment investi sur l‘essentiel de sa nature humaine. Le goût amer qu’il y avait bien plus à partager que des biens matériels… L’amertume et les regrets des derniers instants d’une vie, viennent  du sentiment d’être passé à côté d‘une vérité: Tous biens confondus, vous réaliserez quelques instants avant de quitter ce monde, que l‘amour représente le seul bien qui vous importe. Le regret de n’avoir pas su reconnaître les vraies valeurs qui font de vous ce que vous êtes… Faut-il vraiment en arriver à la fin de sa vie pour reconnaître ces vérités…?
     
Il y a chez l’humain une volonté de toujours aller de l’avant. Un esprit d’analyse qui cherche à solutionner toutes les difficultés auxquelles il doit faire face. Une intelligence capable de s’adapter à presque toutes les situations. Sa vulnérabilité vient d’un manque de confiances en lui. Il n’est pas conscient de son potentiel. Pour compenser ce manque d’assurance il cherche un appui extérieur. Une référence qui le rassure. C’est ce point faible qui est entretenu pour le manipuler, mieux l’exploiter.
Cet état d’être conditionne la forme de société dans laquelle nous vivons. Changer d’état d’esprit, changer notre regard sur nous-mêmes, pour adopter une autre vision de la vie. Ce n’est pas la société qui doit changer, c’est nous qui devons modifier notre regard sur nous-mêmes pour que la société change.        

Il y a ceux qui pressentent une autre réalité et cherchent à comprendre le sens de la vie. Ils se reposent sur l’extérieur sans s’interroger sur eux-mêmes. Les réponses sont en nous. Quand nous déciderons nous à le comprendre…?
Tout comme l’enfant cherche le regard de sa mère pour se rassurer, chacun cherche à l’extérieur des réponses à tout ce qui lui échappe. L’humanité est encore loin de la maturité…Où est notre vérité ? Nous voulons être dans la norme tout en cultivant notre différence. D’où nous vient cette volonté d’être dans la norme ? Nous voulons être acceptés ! La façon dont on nous perçoit est d‘un intérêt majeur. La peur de ces regards critiques qui vous dévalorisent. 
Le jugement, le sourire narquois, le dédain, la rumeur, l‘exclusion. Nous sommes systématiquement catalogués et mis dans une case. On peut comprendre que l’idée que l’on se fait de vous, vous importe au plus haut point. Votre différence vous l’argumentez, vous la défendez, vous la justifiez. Mais seulement dans les limites de ce qui peut être accepté par la pensée collective. Vous n’approfondirez pas ce qui vous placerez en rupture avec l’extérieur. Vous taisez certaines de vos idées, certaines de vos positions, pour ne pas être exclu par l’environnement. C"est le résultat d'un conditionnement depuis l'enfance.
Qu’est-ce que la norme ? Si ce n’est ce qui est susceptible d’être accepté par la pensée collective. La norme est le résultat d’un formatage imposé. Dès votre plus petite enfance on vous martèle ce qui doit ou ne doit pas être. Comment vous comporter, ce qui se dit et ce qui ne se dit pas, ce qui se fait et ce qui ne se fait pas.
Mais votre vérité, vos ressentis, dans tout cela ?
Qu’est-ce que la crise d’adolescence ? Une incompréhension de l’enfant qui découvre le monde adulte. Un adolescent qui a encore en lui cette volonté d’expressions dans une liberté qu’il revendique. Un adolescent qui a encore en lui cette flamme pure qui refuse de se soumettre à un formatage imposé. L’injustice flagrante de cette société lui est insupportable.
A-t-il tort ?
Comme je dis quelques fois: l’adolescent est considéré comme un adulte lorsque il se soumet et accepte de courber l’échine.
Il finit par entrer dans un moule qui ne sera qu’une pâle copie de sa vérité vraie…
Toute sa vie il tiendra compte de l’image qu’il reflète. Satisfaire ce qui est imposé. Même dans ses débuts professionnels, pour trouver un emploi, on lui apprendra le, comment savoir se vendre. Vendre son savoir faire. Comment se présenter, comment s’habiller, quels gestes, quelles expressions il faut, ou ne faut pas employer, le ton, la tournure des phrases…
 Qu’est-ce qu’il reste de l’expression  de sa vérité vraie après cela…?
Comment ne pas comprendre qu’il puisse finir par  confondre sa propre vérité et celle imposée…          

               J’observe… Partage par obligation ce que chacun considère comme l‘incontournable. Je joue le jeu. Danse illusoire d’une fourmilière qui se débat avec le quotidien. Des centres d’intérêts qui ne me concernent plus. Suis spectateur d’un monde qui se ment à lui-même. Qui pense vivre, alors qu’il ne fait que se leurrer. Survie en suspension qui ne tient qu’à un fil. Je suis au-dessus de la mêlée. Funambule qui cherche le parfait équilibre. J’aimerai partager une autre vision. Une disponibilité qui ne trouve pas preneurs. Pas facile d’éveiller ces regards hypnotisés ! J’avoue que parfois je me sens bien seul… Un chemin basé sur l’intégrité, la sincérité, la confiance, le partage et l’amour envers toutes choses. Une quête qui cherche avant tout, l’état d’être en pleine conscience. C’est en avançant sur ce chemin que l’on découvre, pas à pas, le miracle de la vie. Un état d’être qui vous ouvre les portes de la connaissance. Le mieux vivre où tout est simple. Comprendre que nous sommes tous interconnectés les uns aux autres. Que nous pouvons ensemble bâtir un monde nouveau. Est-ce une chimère ? L'avenir selon nos choix répondra à cette question..

Une roue du non sens qui, pourtant, pourrait être évitée.
Chacun se débat avec son quotidien. Joie, peine… Bonheur, malheur… Avec un peu de lucidité, on peut se reconnaître dans cette roue du non sens qui revient immanquablement à la case amer du mal vivre… Éternel cycle qui immuablement régit les fluctuations d’un bien être soumis aux affres de l’imprévisibles. 

J’aborde le plus lourd. Le vécu actuel tel qu‘il est mis en actions. Votre quotidien… Le déroulement d’une mécanique qui dérape sans cesse et vous lèse d’un bien être perpétuel. Le non sens de ces cycles qui se répètent à l’infini. 
         
Il y a l’inquiétude, les incertitudes, les frustrations, l’angoisse. La peur. 
Peurs de ne pas être à la hauteur. Peur de faire les mauvais choix, Peur du lendemain. Peur d’être incompris, peur du regard de l’autre. Peur d’être jugé, montré du doigt. Peur d’être sanctionné. Peur de ne pas être aimé. Peur des fins de mois difficiles. Peur de mal faire. Peur de l’échec. Peur du gendarme. Etc.… Toutes ces peurs qui vous collent à la peau et génèrent l’angoisse. Ces peurs vous accompagnent dans votre quotidien. Parties intégrantes de votre vie. Heureusement il y a de bonnes choses. Des plaisirs que l’on s’octroie. De belles rencontrent. Des événements heureux. Des biens êtres ressentis. Des moments où l’on se sent vraiment bien. Ces périodes où il y a ce plein ressenti d‘être en harmonie avec soi et ceux qui nous entourent. La vie qui vous sourit. Même dans ces ressentis d’un bonheur total, il y a l’inattendu qui peut jouer les troubles fêtes. Le grain de sable qui vient gâché le plaisir. Un bien être que l‘on croyait acquis. Un état qu’on espérait vivre à l‘infini. Vous vous accrochez, mais le grain de sable à coupé l’élan de ce bonheur où vous vous sentiez si bien. D’une préoccupation à la non acceptation, il n’y a qu’un pas. L’impuissance face aux événements génère l‘angoisse… Une situation qui vous échappe, vous glisse entre les doigts. Vous n’êtes plus aux commandes. La frustration est là. La rancœur n’est pas bien loin. La colère attend son heure. Les larmes et la peine suivront… Une tristesse et un mal vivre seront pendant un temps bien difficiles à négocier…
 Vient ensuite le temps où vous surmontez ces déceptions. L’espoir d’un possible germe en vous. Vous repartez à l’assaut du bonheur. Tenace, vous voulez y CROIRE.  Une exaltation vous transporte. Et c’est reparti !!! La boucle est bouclée. Vous recommencez un cycle du bonheur malheur. Du bien être au mal être. Du rire aux larmes. De la joie à la peine. De la vie à la non vie. De l’action au subir…(toujours le subir)
 Ces boucles de la vie à la non vie se succèdent. La vie s’écoule et le temps passe. A force de se débattre avec ces successions de bonheurs malheurs, certains s’essoufflent, baissent les bras. Vient alors le temps de la résignation. Désabusés ils ne repartent plus au combat. Un état de survie qui génère le morose, l’inaction. L’acceptation d’une vie sans espoir, sans joie.         
Une réactivité et des ressentis que chacun vit ou peut vivre.

Honnêtement… on rêve d’autre chose, non ?

On ne veut plus subir. Du sentiment sincère qui accordait un plein crédit aux événements, on passe à la méfiance. On veut se préserver. On y croit plus. Le crédit finit par exiger des garanties. L’état d’esprit n’est plus dans la confiance. Regard suspicieux qui décortique tout. SE satisfaire devient la priorité. L’autre est un moyen pour trouver son propre compte de bien être, de satisfactions. On devient prudent. On ose beaucoup moins. On ne veut plus prendre de risques. Cette prudence génère l’inaction, la non vie, le non épanouissement. Je l’ai vécu. Je n’en suis plus là.
Un autre état d’esprit qui génère un mieux vivre !!!
On ne peut nier la part de vérité dans tout ce qui est évoqué ci-dessus. En toutes logiques la société devrait avoir pour vocation le bien-être de l'humain. Du moins à l'origine c'est ce que l'on était en droit d'espérer... Nous en sommes arrivés à l'intention unique de développer et entretenir les rouages d'un système qui n'a qu'un seul objectif, se suffire à lui-même.. L'absurde et le triste constat de cette évolution  met en avant l'asservissement de l'humain qui va croissant. L'humain en est arrivé à être au service de cette mécanique. Une mécanique de plus en plus exigeante. Ce n'est plus l'humain qui est le centre d’intérêts, c'est le système par lui-même. Une société qui impose et en oublie sa vocation première. Le bien être, le bien vivre et la recherche du bonheur pour tous...    

Le sentiment que je vais rabâcher une litanie que vous connaissez. Les mots, les phrases ont leurs importances. Peut-être ceux-ci auront une résonance en vous…

Je vous avez prévenus. Du lourd ! Et ce n'est pas fini... Je continue ! 
Je prends de la hauteur. Il n’y a pas que l’humain. Il y a aussi et avant tout cette planète merveilleuse. Actuellement, même avec beaucoup d’indulgences, force est de constater…. nous ne la méritons pas…

D'une vue humaine à une vue universelle.
De tous temps, les centres d’intérêts de l'homme, ont eu une unique préoccupation... Lui-même...
De part notre évolution, et notre influence négative sur l'écosystème, entre maintenant en ligne de comptes, un facteur incontournable. Nous ne pouvons plus faire abstraction des règles qui régissent l'univers. Notre planète est à bout de souffle et commence à nous le faire savoir.
L'humain peut prétendre ce qu'il veut, si il continue à transgresser les règles universelles de la vie, son avenir est compté...

Réagir par une remise en question.  
Il n’y a pas que l’humain qui est menacé. Bien plus grave est l’incidence de sa folie sur tout ce qui est vie. Regardez autour de vous ! Réalisez qui vous êtes et ce que vous êtes ! Regardez l’océan, regardez les montagnes, regardez les forêts, Imaginez l’univers ! Allez cherchez au plus profond de vous-même votre vérité. Vous vous apercevrez que vous êtes bien plus qu’un numéro de sécurité sociale ou un nom sur une feuille d’impôts. Que ce n’est pas le béton qui vous fait rêver. Que les fleurs ne poussent pas sur le bitume. Vous êtes vivant grâce à cette planète et non par les promesses politiques. Quand allez-vous sortir de cette léthargie. Réaliser la dérive et son ampleur. Sortez de votre nombrilisme et prenez conscience que ce n’est plus seulement l’humain qui est concerné. 
Que l’humain décide de s’autodétruire est une chose. Mais de quel droit s’approprie t-il le droit de décider et d’entraîner avec lui, la disparition de tout ce qui est vivant sur cette terre ??? 
L’infernale spirale d’une démagogie inspirée par la sacro-sainte loi économique basée sur deux valeurs: Le profit !!! Le toujours plus !!! Ce système est incompatible avec une évolution naturelle. L’homme ne se contente plus d’exploiter l’humain, il exploite, bafoue, détruit l’environnement. Cela prend maintenant des proportions extrêmes. Un génocide conscient de la vie. 
Le profit passe par la notion d’exploiter. Une exploitation sans scrupule, sans limite, sans état d’âme. Nuire à l’écosystème c’est rompre la chaîne du vivant. Un crime contre l’humanité, un crime contre cette planète, un crime contre l’univers… 
Il ne s’agit pas de savoir si l’homme est le seul responsable des catastrophes naturelles. Nous sommes dans une évolution contre nature. 
C’est cette prise de conscience qui permet une approche différente. Une approche différente sans laquelle vous ne pourrez pas espérer évoluer individuellement. Votre implication personnelle détermine le cours et l’évolution de l’ensemble. Ce n’est pas le constat qui importe, mais se décider à se regarder différemment pour une évolution différente…

Après ce paragraphe, soyez maintenant attentifs à vos réactions en lisant ce qui suit…

Ce coup de gueule n’est qu’un coup d’épée dans l’eau. J’en suis bien conscient. Car en vérité, combien de personnes seraient prêtes à renoncer à leurs biens, à la notion d’avoir, de posséder…? 
"Nous ne sommes pas le centre de l'univers !" Cette expression est on ne peut plus d'actualité. Rien ni personne ne peut s'opposer aux règles universelles qui régissent la vie. Pourtant l'homme, lui, n'en a cure. Il impose sa volonté. J'imagine un extra terrestre ayant un peu plus de cervelle qu'un humain, observant notre façon de concevoir notre évolution... Sûr ! il se gratterait la tête, en se demandant pourquoi l'humain tient tant à se suicider...?
Nous sommes les hôtes de cette planète. Une fourmilière qui se comporte en terre conquise. Avec arrogance ces fourmis achètent un bout de terrain et prétendent que cela leur appartient… Concept absurde qui pourtant peut vous mettre en danger si vous essayez de remettre en question les biens acquis. Même à toute petite échelle l‘enracinement du concept de propriété n‘est pas prêt d‘être abandonné…  
Le « C’EST A MOI !!! » « CA M’APPARTIENT !!! » suscite la convoitise et de tous temps a généré des conflits. Cela de la plus petite à la plus grande échelle… C’est sur les bases de la convoitise et d’imposer que nous avons construit le monde dans lequel nous vivons. Certains feront remarquer que c’est une loi de la nature. Les animaux se disputent et défendent un territoire. A cela je répondrai: en sommes nous encore là ? Notre évolution en est-elle toujours à l’instinct primaire d'auto défense et de convoitises ? Les animaux participes aux cycles de la vie. Tout sur cette planète est extraordinairement bien organisé. Un équilibre fragile, mais parfait. L’homme ne s’est pas contenté de s’exclure de ces cycles, il les détruit. De quel droit ? 
L’espoir d’un sursaut de conscience existe, mais il est une évidence : Ce qui doit-être sera ! Nous sommes créateurs de notre devenir. La conscience supplantera-elle l’inconscience ? La maturité ou la non maturité de l’humain en décidera…
L’homme dans sa folie, entraîne avec lui la disparition de tout ce qui est vie sur cette planète. La disparition des forets, la pollution des océans, l’exploitation sans scrupule des ressources énergétiques de la terre, La pollution de l’air, L’inconscience du nucléaire que nous ne maîtrisons pas. La disparition des espèces, etc... Tout cela sans aucun respect. C’est cela, pour moi, qui est le plus inacceptable…
L’homme est maître de son devenir puisque il en décide ainsi (Du moins le pense t-il). Mais il n’a aucun droit de nuire à l’évolution naturelle de cette planète. Qui est-il, pour se comporter en terre conquise ???

J'ouvre une parenthèse...
"L'univers a une conscience intelligente et des règles qui s'imposent d'elles mêmes. Croyez-vous réellement que l'homme pourra continuer sur ce chemin contre nature ?"

Un fébrile espoir…
La perception de l’humain change. D’une vue qui se limitait à un environnement restreint, (ego, cohabitation, région, pays, mondialisation) une minorité commence à développer une acuité de l’esprit qui prend en compte les lois naturelles qui régissent et perpétuent la vie. Une prise de conscience que nous sommes dépendants des cycles de la nature et de l'univers. Nous sommes un maillon d’une immense chaîne qui par interconnections participe à l’évolution du Tout. Comme tous les autres maillons on se doit de respecter l’équilibre du Tout. Être dans le sens de notre évolution naturelle et participer en conscience à cette évolution... 
Au fil de notre évolution et de nos dérives, nous sommes passés des conséquences qui se limitaient à nuire à l’humain, aux conséquences planétaires qui prennent une ampleur de moins en moins maîtrisables. S’amorce actuellement l’irréversible. 
Passer d’un ego démesuré à une reconnaissance de notre position dans l'univers et ce que cela implique. Prendre conscience du rôle que nous devrions assumer. Il est temps de grandir ! Voir plus loin. Prendre en charge nos véritables responsabilités…
                  
J’en reviens à l’humain.        
Nous sommes énergies et la matière nous offre des possibles extraordinaires. Nous qui passons par cette expérience matière, nous ne mesurons pas à sa juste mesure le potentiel de bonheurs qui nous est offert. Notre incarnation nous offre la possibilité de jouir de bien des avantages. Nous pourrions ne faire qu’un avec la nature. La richesse de la nature nous offre tout ce qui nous est nécessaire et bien plus. Avec les capacités actuelles de l’humain cette terre pourrait être un véritable paradis. Notre inconscience nous a menés à créer un système de société fait de contraintes et de rivalités. C’est cette dérive que nous sommes appelés à corriger. Comprendre que cela ne pourra se faire sans une remise en question individuelle. Pour cela il nous faut reconsidérer les bases sur lesquelles notre esprit se repose. Passer du mental, au ressenti d’amour pour nous guider. Notre ego nous aveugle. Sans aucun état d’âme, nous exploitons la main qui nous nourrit au point de la mettre en danger. Au lieu de l’exploiter, nous devrions être au service de cette nature. 
Comment en est-on arrivé là ? 
Il y a en nous, l’homme, produit de la société et l’humain conscient de ce qu’il est et de ce qu‘il doit à notre mère terre. Les deux sont incompatibles. Chacun d’entre nous fait son choix. La direction choisie détermine notre évolution individuelle et de causes à effets, déterminera notre évolution collective…
L’homme est un prédateur. L’humain est en bout de chaîne, conscient d’une évolution qu’il doit à la nature. L’homme n’a aucune reconnaissance envers ses origines. Au lieu de participer à l’évolution de la nature, il ne s’intéresse qu’à lui. Sans aucun scrupule il se sert et n’hésite pas à détruire pour se satisfaire. Une attitude inconsciente et suicidaire. L’humain, lui, a un amour pour la terre et lui est reconnaissant. Conscient de l’importance de se mettre à son service. 
Nous avons ces deux oppositions en nous. Malheureusement nous ne sommes qu’une infime minorité qui, en conscience, donnons une priorité à l’humain. 
L’homme, dans son développement collectif et sa démesure, a pris une expansion telle, qu’il est bien difficile pour ce petit pourcentage d’humains conscients et volontaires, de contrecarrer l’hégémonie existante. L’espoir réside en une prise de conscience collective. Un sursaut de l’humanité au détriment de l’homme, produit de la société. Passer d’un nihilisme à une conscience de la vie et de sa vraie nature.        
c’est là, que se situe l’un des principaux défi auquel nous sommes confrontés. Dépasser notre conception restreinte de la vie pour, en conscience, s’extraire de cette vue limitée qui n’a pas toutes les données de l’équation. Chacun se positionne selon son degré d’évolutions. La question se pose: Qui de l’homme ou de l’humain l’emportera…? 
 Il est impératif de ne plus se voiler la face, arrêter de faire l’autruche, arrêter de se mentir… Surtout élargir notre champ de perceptions. Voir plus loin que notre échelle humaine… Prendre conscience que la terre est vivante et la nature tout autant…

Malgré les apparences de ce texte, je ne suis plus dans le constat. Cette démarche représente la fin, pour moi, d’un état d’esprit. Je passe maintenant à une autre vision. Un regard qui prend de la hauteur. Voir plus loin…    
Nous sommes un infime élément du puzzle et nous nous devons de respecter et prendre en compte les autres éléments. Nous sommes une pièce sur un immense échiquier. Redevables envers toutes les autres pièces, car sans elles, nous n’existerions pas….. Il est temps de grandir !!!  

C’est le manque de repères sur le sens de notre existence qui crée notre fébrilité et nous rend vulnérable.  
Nous sommes tous interconnectés les uns aux autres. Ces interconnections permettent la circulation d’informations. Cette circulation d’informations n’est possible que dans la mesure où nous sommes sur une ligne d’évolutions en harmonie avec le Tout. Si il nous est si difficile d’établir cette communication, c’est par notre éloignement de notre vocation première. Nous n’écoutons plus la résonance de l’univers. Nous n’assumons plus notre part de responsabilités qui nous était impartie dans l’évolution naturelle de l’univers.
Nos choix de civilisations sont riches d’enseignements sur les dérives possibles d’un esprit livré à lui-même.
Sans la mémoire de qui il est, ni d’où il vient, l'homme a bien du mal à trouver son équilibre.. La véritable vocation de ces expériences n’a qu’un objectif: s’adapter à la matière, être en harmonie avec elle, tout en ayant conscience des règles qui régissent notre univers.… Faire partie de cet ensemble en conscience, et assumer nos responsabilités envers cette évolution devraient être notre priorité. Cette évolution à un sens, mais nous nous sommes détournés de notre vocation première. Pouvons nous rétablir cet équilibre ? Je n’ai pas la réponse…
Oui ! Nous sommes aidés. Mais tant que nous n’entrerons pas dans ce concept du Tout, la communication sera extrêmement difficile, voir impossible. On ne peut pas avoir une communication claire avec ce qui dépasse notre conception humaine, si nous ne sommes pas sur la même ligne d’objectifs et de compréhensions. Quand on n'est plus sur la même voie, avec en plus, des vues et des objectifs en contradictions avec une évolution de l'ensemble, il est très difficile de se comprendre…
        
C’est tout ce qui échappe à notre compréhension qui nous déstabilise. C’est dans la confiance et l’acceptation que l’on peut espérer évoluer. Ce qui nous apparaît comme une injustice est parfois très difficile à accepter. Il nous manque bien des éléments de connaissances pour saisir tout ce qui régit l’univers. Ne pas oublier et avoir toujours à l’esprit que nous en faisons partie… 
Je ne dis pas que cette confiance et cette acceptation peut se mettre en place d’un coup de baguette magique. Je n’ai pas réponse à tout, non, mais cette voie permet  d’approcher la connaissance de soi. Un chemin qui mène à la sagesse. Et c’est par la sagesse que l’on peut créer l‘harmonie. L’harmonie d’un bien Être partagé. Partagé avec tout ce qui est vie. Cela exige un investissement de tous les instants. Un parcours de longue haleine. Nous en sommes aux prémisses d’une prise de conscience qui changera notre regard sur le monde et sur nous-mêmes… Encore faut-il s’y investir…             

 Aucun humain n’est supérieur à un autre. Chacun est riche de ses différences. C’est dans le partage de ces différences que chacun peut s’enrichir et enrichir l’autre. Chaque être humain sans exception, dispose d’un potentiel de valeurs humaines qui ne demande qu’à être reconnu. Reconnu d’abord par lui-même, pour ensuite être reconnu par l’extérieur. 
Une nature humaine et ses dérives qu‘il nous faut corriger pour atteindre une harmonie qui nous permettrait de cohabiter dans les meilleurs conditions. Reste l’essentiel… Notre survie !!!           
           
Les prises de conscience qui se multiplient sur les dysfonctionnements et les dérives de cette société, démontrent que l’esprit de l’homme évolue. La société, elle, se défend. A coups de lois et d’énergies dépensées, elle cherche à imposer une volonté pour faire perdurer ce système. Hors ! la prise de conscience qui émerge et prend de l’expansion, dépasse largement le cadre interne des règles de cette société. Elle prend désormais en compte les supports de la vie que sont cette planète et l’univers. Dans cette évolution de pensées on sort du cadre de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789. La société se base sur une exploitation de cette planète. Cet archétype n’est plus d’actualité et expose dangereusement la survie de l’humanité.  L’évolution  de l’esprit actuelle permet de dépasser notre vue limitée et est amenée à nous remettre en question.

L’évolution de l’esprit est à un tournant majeur. Il n’y a actuellement qu’une minorité qui prend conscience de ces nouveaux paramètres incontournables que sont la vie et ses origines... L’équilibre est fragile et nous commençons à le comprendre. Que la société le veuille ou non, ces prises de consciences sont appelées à se propager. Tout comme l’avant 1789 nous sommes à la fin d’un système de société. La fin d’un cycle où ne pouvons plus faire abstraction des lois qui régissent l’univers et dont nous sommes partie prenante. Le choix est simple ! Continuer sur la voie d’une autodestruction où avoir la lucidité nécessaire à un changement total de la perception de la vie. Une prise en compte de ce qui nous entoure et dont nous sommes dépendant et redevable… Bâtir un monde nouveau ou se résigner à disparaître…
     
Appréhender la vie différemment…
Tout est dans l’acceptation. La confiance en soi. Vivre l’instant présent en étant dans les sentiments du cœur et une intégrité absolue. Cela vous amène à une harmonie en conscience avec l'univers. Une collaboration complice avec nos origines... 
C’est par la libération de l’esprit que la notion d’un être accompli peut être atteinte. Se débarrasser des formatages. Être en quête d’une vérité passe par une autre approche de la vie.
Saisissez bien cette différence!

L'attirance mutuelle d’un homme et d’une femme...?
Il est difficile dans notre esprit de considérer ce que l’on appelle  « amour »  comme une énergie bien réelle ayant une puissance effective et concrète. Une énergie bien réelle qui est l’essence même de ce que nous sommes. Vous ne mettez pas en doute l’énergie solaire…? Cette énergie que l’on appelle amour est issue de l’énergie déployée par notre soleil. La puissance de cette énergie est sans limite. Nous n’avons jamais compris cela et c’est de cette lacune, de cette ignorance, que découle toutes nos dérives humaines…   
Notre énergie vitale est l’amour. Une énergie qui ne demande qu’à s’exprimer. Encore faut-il la reconnaître et lui donner la possibilité de s’exprimer. Notre priorité doit être dans la reconnaissance de cette énergie comme une puissance effective dont nous avons le potentiel et qu‘il nous faut nous révéler à nous-mêmes. 
Nous sommes composés de deux parties: la partie féminine qui est intuitive et la partie masculine qui représente l’action. Que cela soit chez la femme ou chez l’homme, nous sommes incomplets. L'homme à une partie masculine dominante. Chez la femme c'est la partie féminine qui domine... Hors nous sommes conçus pour équilibrer ces deux parties. Équilibrer pour réattribuer le juste rôle de la partie masculine et de la partie féminine...  

L'attirance pour le sexe opposé vient du ressenti inconscient que l'autre sexe détient en lui ce qui nous manque pour trouver l'équilibre parfait entre notre masculin et notre féminin. L'équilibre parfait permet de prendre conscience de ce que nous sommes. 
Entre le masculin et le féminin, savoir qui est qui, et surtout, quel rôle appartient à chacun. En somme, remettre les pendules à l'heure. Cette réorganisation doit nous permettre de retrouver la connection avec notre moi supérieur. Avec cette conscience unifiée nous serons en pleine connection avec l'univers. Mais tout passe par le coeur. L'énergie d'amour... C'est donc par l'amour que nous pouvons établir cet équilibre. 

Nos origines et nos objectifs... 
En tant qu'énergie expérimentant un monde matière il a fallu se donner les moyens de s'adapter. 
La partie masculine qui est en nous (aussi bien chez la femme que chez l'homme) permet cette  adaptation.
L'esprit d'analyses que l'on appel mental est notre partie masculine. 
Observations, actions, réactions, déductions, réalisations, c'est cela le mental. C'est ce qui nous a permis de nous adapter et d'évoluer depuis les tout premiers pas de l'humain sur cette terre. Le mental a joué un rôle primordial pour nous adapter à ce monde dense, et il nous est toujours nécessaire. Si ce n'est qu'il a débordé de sa fonction première et n'a plus laissé s'exprimer nos ressentis. La voie du coeur...

Il nous a fallu tout apprendre de la nature. Pour apprendre on observe. Notre attention a toujours été tournée vers l'extérieur. En toutes logiques, quand nous avons commencé à nous poser des questions sur nos origines, c'est à l'extérieur, avec nos connaissances mentales que nous avons cherché des réponses. De là, sont nés les croyances puis les religions. 
Trop occupés à nous débattre avec une adaptation difficile avec la matière, nous nous tournions que très peu vers nous-mêmes. Il y avait, et il y a toujours tant à découvrir que nous nous reposons uniquement sur l'extérieur. 
Le mental en est arrivé a créé ses propres structures du sens de la vie. Des structures basées uniquement sur les intérêts de la société. 
En ne prenant pas en compte tout ce qui compose la vie, nous ne pouvions que dériver. Nous sommes passées des impératifs de survies et de comprendre, à la volonté d'imposer. 

C'est notre partie féminine qui détient notre vérité et qui est à l'origine de la création de l'humain. Une fois notre adaptation suffisante, le mental est sensé passer les commandes à notre véritable origine. L'énergie d'amour... L'ouverture de l'esprit que nous constatons actuellement est peut-être le signe que c'est cette transition que nous vivons... 
Avoir à l'esprit que cette expérience matière que nous avons décidée, ne reste qu'une expérience et ne détermine pas qui nous sommes dans une vérité vraie... Notre origine est féminine, c'est à dire l'énergie d'amour. C'est elle qui est à l'origine de notre création.
Pour mieux comprendre ma pensée.
Si nous retrouvons la mémoire de notre origine, ce que j'appelle notre véritable identité, avec l'expérience acquise de ces incarnations, nous serons alors dans la perfection d'une adaptation en conscience d'une vie incarnée dans un monde matière... Nous serons en mesure de jouir des privilèges que la nature peut nous apporter avec une reliance directe avec l'univers dont nous sommes issus... Ce qui nous ouvrirait des horizons et des possibilités qui dépassent notre compréhension actuelle. C'est peut-être là que se situe la véritable origine et l'intention primordiale de nos incarnations...  Mais gardez, avant tout à l'esprit que nous sommes amour et que toutes possibles évolutions ne peut passer que par cette énergie du coeur.

Cette théorie m'est personnelle. Je pourrai développer bien d'avantage. Notamment sur l'influence de la densité qui est notre principale difficulté. Notre objectif ? Élever notre conscience pour concilier un état d'énergie dont nous sommes issus avec un état matière conscient de ces origines... Une porte qui nous ouvrirait la voie vers un autre état, une autre conscience, d'autres capacités...
Je pourrai aussi m'arrêter sur l'âme. Notre âme est la résultante d'une suite d'évolutions énergétiques. Sans aucun doute notre âme a derrière elle bien des expériences qui font d'elle ce qu'elle est actuellement. Notre âme est éthérée, non palpable, non visible, mais elle est en nous, c'est elle qui nous demande de la reconnaître et nous pousse en avant. Si nous en sommes à expérimenter la matière, c'est que derrière nous, il y a un parcours de notre âme extrêmement riche d'expériences et d'évolutions...  
Pour nous élever vibratoirement, vous l'aurez compris, seule l'énergie du coeur peut nous y amener...
Cette vue particulière est succincte, demanderait à être développée, mais peut-être, que cette conception résonnera en vous...     
   
Nous avons tous les éléments nécessaires à notre disposition. Commencer par redistribuer le rôle de chacune des parties (conscience du cœur et mental. Féminin, masculin). Le mental ayant eu les commandes depuis toujours, nous sommes persuadés que lui seul sait quelle décision prendre dans telle ou telle situation. Il est temps qu'il reprenne son rôle premier. Un consultant et un exécutant mais pas le maître d'oeuvre...

Il nous est nécessaire de faire appel au mental pour accomplir dans ce monde dense. C'est lui qui nous a permis de nous adapter à la matière. Il est temps maintenant de réapprendre à entendre la voix du coeur pour Être dans notre vérité et suivre le véritable sens de la vie... ÊTRE en plein accord avec l'univers... 
                                                                                   Nn.

samedi 2 novembre 2013

Une perception... tenir la barre et garder le cap ...


Le partage... ces partages qui suscitent et incitent une réactivité qui nous aide dans notre quête personnelle...
Chacun décide de ses priorités. Ce chemin est long, difficile, mais en ce qui me concerne, tout me conforte à suivre la voie choisie il y a bien des années...

Imaginez ! Imaginez que vos ressentis se développent et soient omniprésents dans votre vie. Une évidence naîtrait au plus profond de vous-même. Celle de suivre, dans cette vie, la réactivité qu’elle vous inspire… Plus de questionnements! Un chemin qui vous indiquerait la voie à suivre quelque soit les circonstances de vie qui se présentent à vous dans votre quotidien. Se laisser guider et être réactif en fonction de ces ressentis. Cela semble utopique n'est-ce pas ? c'est pourtant vers cet état d'être que nous allons.

Notre esprit se repose actuellement sur un fonctionnement mental. 
Voir, entendre... analyser... raisonner.... se questionner... douter... décider... agir... peser le pour et le contre pour connaître, reconnaître, la meilleur option. 
Même l'évidence se construit. Elle part d'un constat dont le sens se conforte par divers éléments qui convergent et aboutissent à la même conclusion. C'est ce que l'on appelle, la logique. Une suite de réflexions qui amènent à la même conclusion. 
Ce que nous appelons le "bon sens" dit bien ce qu'il veut dire. Une recherche de la meilleur compréhension possible d'un état de faits qui nous amènera à nous positionner dans des circonstances données. Avoir le sentiment d'être dans le bon sens de ce qu'il faut suivre pour être en accord avec nous-même et les circonstances présentes.  
Ce qui nous est apporté actuellement demande une attention et une grande confiance en nos ressentis. Un travail qui est à notre porté, même si cela exige un grand bouleversement dans notre manière d’appréhender la vie. Nous en sommes à la phase où une aide extérieure vient nous assister et nous conforter dans cette perspective d'un possible qui dépasse le mental… Le chemin de la voie du coeur !!!

Une autre étape qui se présente.
Ma perception actuelle... 
Tout semble m'indiquez qu'il y a un lâché prise incontournable à faire pour accéder à une approche d'un nouvel état d'être. Certains ont fait un très gros travail sur eux-même pour aller vers cette nouvelle perception de la vie. Là où nous en sommes nécessite actuellement de relier les points de convergences de ce nouvel état d'être... Relier tous ce que nous avons intégrées est nécessaire pour produire une réactivité efficace basée sur d'autres valeurs. Relier tous les points d'évolutions personnelles pour une nouvelle cohérence existentielle. C'est loin d'être facile, car il s'agit de couper tous liens avec les références actuelles. Un état qui doit se déconnecter de toutes les valeurs réactives et existentielles sur lesquelles, de tous temps, nous nous sommes reposées. Être dans un état de déconnections avec les valeurs qui gèrent ce monde. Une condition pour permettre l'accès à une compréhension aboutie de ce qui est, ce qui doit être, et de ce que nous sommes. La perspective d'une autre réalité existentielle qui mène à une autre approche de la vie. Le parallèle et la comparaison entre ce monde existant et cette nouvelle perception doit être abandonnée... 
Sur ce bateau qui nous mène vers d'autres horizons... 
Détacher définitivement sont regard de ce que nous connaissons de ce monde. A mon sens, un passage obligé... Cela a déjà été évoqué mais il semble que ce soit on ne peut plus d'actualité actuellement...
Il arrive un temps où on ne peut suivre deux caps à la fois.  Ce n'est pas une lutte entre deux conceptions de la vie, c'est un choix qui décide de larguer les amarres et partir vers un inconnu qui sera ce qu'il doit être. Se décider à accoster sur d'autres rivages où il ne nous reste pour nous adapter, que notre volonté d'avancer...
Il n'y a pas de cartes élaborées pour savoir le chemin à suivre. Tout est basé sur notre ressenti, la confiance et la volonté... 

Pour ceux qui suivent ce chemin.
Nombre de personnes cherchent à s'éloigner du mental. Un travail sur nous-même qui n'est pas facile. La société est bien présente et nous sollicite, voir nous agresse dans le quotidien. Cette volonté de détachements des valeurs qui ont toujours régi nos réactivités et nos comportements est nécessaire et représente une volonté affirmée.
A ma grande surprise une aide extérieure se présente. Après avoir déblayé le terrain pour me remettre sur la voie du coeur, survient un apport d'aides qui semble prendre le relais pour finaliser le travail commencé. Tout repose sur la confiance. 
         
Tout remettre à plat.
Je me méfie des dogmes, ce qui revient à dire que je me méfie d’une volonté qui enferme l’esprit dans une seule ligne de pensées. Savoir dans cette vie, accepter et reconnaître ses erreurs de parcours. Une voie incontournable pour avancer. Nier ses erreurs ne seraient que l’expression d’un orgueil qui mène au stérile et à l‘immobilisme… 
Se donner les possibilités de changer de chemins, de convictions. Ne pas laisser s’installer l’illusion de certitudes. En somme, une remise en question perpétuelle. Qu'importe si l'on s'est trompé ! L'important c'est de se le reconnaître et modifier notre approche et notre compréhension.   
On pourrait aussi traduire cela par une volonté d’ouvertures d’esprit constante, consciente de notre ignorance. Ce n’est pas faire preuve d’humilité, ni de bon sens, c’est l’essence même de cette expérience humaine que nous sommes venus vivre dans ce monde matière… Donner la priorité à nos intuitions pour remonter, à force d’expériences, jusqu'à la source. Cette quête qui n’est autre que la connaissance. Connaissance de nous-mêmes et de ce que représente l’univers par rapport à ce que nous sommes et la signification de tout ce qui est…
Ce n'est pas uniquement une vue de l'esprit, c'est un chemin qui mène vers une autre réalité. 

La difficulté consiste à savoir tirer le suc de tous fruits nés de l’esprit. Savoir trier le bon grain de l’ivraie. Pour reconnaître le bon grain, il faut y goûter, tester, expérimenter. Retenir que toute expérience est riche ! Une fois que tout est clair, faire de la place dans notre esprit pour d’autres perspectives, d’autres avancées. Ne garder que l’essentiel. Cet essentiel n’est autre que les pièces du puzzle qui mène à notre vérité. Le tout est de ne pas se fourvoyer ni manipuler cette vérité.
On peut se leurrer, se fourvoyer, mais tôt ou tard le fruit devient amer… 

La pensée traduit l’expression de l‘esprit. La pensée s’est détournée du ressenti et prend ses sources de références dans le mental. Le mental qui ne se réfère qu‘aux connaissances limitées qu‘il peut avoir. 
Le ressenti, lui, n’a pas de limites et n’a qu’une seule influence: celle d’une énergie. Cette énergie que l’on appelle amour… 

Le ressenti… 
Un langage que nous délaissons, qui nous échappe.
Les limites humaines ont fait naître le mental. Avec lui sont nés les sentiments d’insécurités, d'égoïsme, de craintes, de peurs. La sensation du subir s’est installée et prend toute sa place dans nos vies. De ces peurs sont nées les rapports de forces, de violences, de haines, du vouloir qui cherche sans cesse à s'imposer. Et cette volonté d'un pouvoir recherché qui oppose et fait naître l'injustice. Les pièges sont innombrables. 
Le mental s’impose et nous lamine dans nos réactivités et notre perception de la vie. 
Mais tout cela vous le savez ! Vous cherchez une autre voie. Elle se présente à nous mais pas forcément de la façon que l'on imaginait. A nous de nous adapter ! 

Pour éviter le mental, il n'y a qu'un chemin ! Suivre nos ressentis. L’esprit nous exprime par le ressenti ce que nous dicte le cœur. Une voie directe qui ne passe pas par le mental. 
Le ressenti s'inspire de l'énergie d'amour et nous montre le chemin à suivre dans notre vie. A nous de réapprendre à lui faire confiance…
Soi avec soi, plus que jamais, c'est ce qui nous est demandé actuellement.
Chacun son chemin !  
Allez à l'essentiel ! Ignorez les débats stériles ! Ne vous laissez plus prendre au piège de la justification ! Prenez de la distance ! Restez centrer sur vous-même ! Faîtes abstractions des gesticulations extérieures ! Ne plus vous sentir , obliger, concerner, par la sollicitation extérieure qui cherche à vous entraîner dans le négatif. 
Sachez prendre de la distance, de la hauteur et revenez en à l'essentiel: Vous ! 
Ne vous laissez plus déstabiliser par l'extérieur ! Consacrez-vous à votre propre équilibre, votre propre bien ÊTRE.

Ce qui nous est demandé actuellement est un état de compassions qui ne s'attache plus aux événements, tout en se laissant porter et guider par la courbe du temps qui fluctue et évolue. Un peu comme un film qui se déroule devant vos yeux sans que vous vous investissiez dans l'émotion qu' il est sensé provoquer en vous. De la compassion, oui! mais rien de plus. Vous sentir extérieur à tous cela et vous laisser guider...  
   
L’énergie d’amour sait !!! Elle n’a pas besoin de s’encombrer de questionnements, ni de projections. Elle gère dans une connaissance parfaite ce qui doit être. Cela dans l’instant présent. Rien que dans l’instant présent... 
C’est simple ! Tellement simple que vous n’osez y croire. Pourtant c’est notre réalité. Celle que l’on a oublié. Celle qui se présente à nous.

Le cœur est la matrice de l’amour. L’énergie d’amour née de la lumière. La puissance de la lumière ne peut être reconnue que par l’expérience de son contraire. De là est née la dualité. Une dualité qui oscille entre ombres et lumières. C’est là que ce situe toute l’expérience dans laquelle nous nous sommes engagés… il semble que nous arrivions au bout de ce chemin fait de dualités. 
Une perspective autre se profil. Celle de notre vérité trop longtemps ignorée…
Nous sommes issue de la lumière.
Suivre nos ressentis dans la confiance et cette dualité n’aura plus sa raison d’être. Cette lumière que nous commençons à percevoir au bout de ce long tunnel d’ignorances est accessible. Une lumière que nous cherchons à atteindre. Le retour à la maison… pour cela viendra le temps, où qu'on le veuille ou non, il faudra décider de se jeter à l'eau et lâcher prise sur tout ce qui nous relie à ce monde...

L'amour, l’intégrité, la confiance, l’acceptation, la compassion, et j'y ajouterai le détachement, sont les bases qui nous mèneront vers l’état d’être qui ne cherchera plus de réponses, car il aura effacé les questions pour se consacrer à l’essentiel: ÊTRE.
Retenez que nous sommes aidés et que cela se précise de plus en plus. 
J'en viens à me demander (et là j'extrapole sur une impression personnelle) si, en fait, le changement de polarité n'est pas amorcé...  le passage d'une réactivité mentale à un état d'être basé sur le ressenti qui s'affirme pour moi, semble m'indiquer que nous passons, actuellement, un cap. Un cap important. 
Nous ne pouvons extrapoler sur les fluctuations du temps et en ce qui me concerne, je me garderai bien de prédire quoi que ce soi. Mais il est un fait indéniable pour moi, sous des apparences d'immobilismes où rien ne semble changer, nous avançons, et bien plus que nous l'imaginons... 

                                           Nn.