vendredi 27 mars 2015

L'errance... Ou le déni de soi...




Être heureux dans un environnement heureux... 
C'est le souhait de chaque individu sur cette terre.
Cela ne dépend pas d'une responsabilité contraignante, cela dépend uniquement de l'amour... L'amour ne connait pas la contrainte ! Il se partage naturellement !  

L'humain est bien conscient que la société ne lui apporte pas les conditions pour accéder au bonheur. 
Plus que cela, elle est un handicap à l'épanouissement du cœur.

Trop de personnes vivent dans le mal-être. Beaucoup trop... Il suffit d'être un peu attentif. Regarder autour de soi. Combien de tristesses derrière un sourire ou une joie simulée. Combien de désarrois se cachent derrières les comportements qui multiplient leurs activités pour ne pas penser. Hommes ou femmes trichent avec eux-mêmes pour ne pas voir la réalité d'une vie morne, sans saveur. Ils se leurrent pour ne pas faire face à une réalité qui ne leurs convient pas. Le cœur au bord des lèvres mais n'osent le laisser s'exprimer. N'osent  l'amour qui les étouffe pour satisfaire aux conventions... Peur du regard des autres. Un mental qui les incite à dissimuler ce qu'elles sont pour le paraître. L'image de soi qui se doit de ne pas montrer ses faiblesses... Un orgueil que le mental a su enraciner au plus profond de l'esprit, un orgueil qui dénature une réalité et interdit l'expression libre des ressentis... L'image créée est plus importante que l'expression du cœur...
A force de réprimer cet amour qui ne comprend pas pourquoi il ne peut s'exprimer, la joie de vivre s'étiole et finit par disparaître. Vient la tristesse incommensurable à laquelle s'ajoute la préoccupation de l'image que l'on se doit de montrer autour de soi... Comme si la tristesse ne suffisait pas en elle-même...?
Une société qui isole de plus en plus l'individu. Un manque d'affections ressenti qui est démultiplié par la solitude trop souvent présente.
Le manque de confiances en soi amène un manque de confiance en la vie. Le manque de confiances en la vie entretient le doute et le doute fait perdre la confiance en soi... Une boucle infernale sans cesse répétée...

Je ne peux m'empêcher de m'interroger. Dans des temps pas si lointains la passivité des populations pouvait se comprendre par une absence d'informations qui permettait de dissimuler une réalité à l'ensemble de la collectivité. En cette époque que nous vivons où l'évolution apporte une information accessible à tous.  Une information qui chaque jour montre l'incohérence de cette société, une information où l'excuse de ne pas savoir ne tient plus. Une époque où l'évidence ne peut plus être niée à moins de se voiler la face volontairement. Des gouvernants qui imposent et restreignent les libertés par le biais du pouvoir de l'argent. Des puissances financières qui décident du sort des entreprises, se débarrassent de leurs main-d'oeuvre sans scrupule n'ayant même plus le besoin de se justifier. Les stratégies économiques restent dans un flou permanent. Flou que les décideurs se gardent bien d'éclaircir pour ne pas avoir de comptes à rendre.  Une pression où la dignité humaine est bafouée. Une pression qui amène un mal-vivre de plus en plus présent. Comment se fait-il que les peuples acceptent, une telle orientation qui n'a de perspectives que la misère morale et physique pour satisfaire quelques poignées d'hommes au détriment de milliards d'individus...?
Je n'ai pas la réponse. Cette passivité est pour moi, incompréhensible. On peut chercher, rien n'explique, ni ne justifie une telle volonté de cécités pour ne pas voir l'évidence. Un marasme économique et social qui crève les yeux et le cœur où chacun, résigné, s'auto-flagelle se lamentant sur lui-même en rejetant la faute sur l'extérieur. L'homme de la rue sait, mais se satisfait de cette dégradation de la vie, espérant que... A se demander ce qu'il espère...?
Le mental de l'humain est ambiguë. A supposer qu'un gouvernement efface les statuts du patronat, éradiquant totalement le pouvoir décisionnaire de ces faiseurs d'argents... Un gouvernement qui propose le travail pour tous avec un nombre d'heures travaillé égal  où la charge de travail serait répartie entre tous avec une rémunération fixe égale pour tous sans aucune différence et ce quelque soit la position hiérarchique ou le niveau d'études, études considérées comme un travail et donc rémunérées. Des gestionnaires d'entreprises mis en place qui rechercheraient l'équilibre et non les bénéfices. Des gestionnaires au service du bien-être de la communauté et non dans une  recherche de puissances pour s'imposer. Utopique certes ! Les puissances de l'argent de ce monde s'opposeraient à une telle évolution. Mais pas seulement ! Il y a de fortes probabilités que des réactions en chaînes des populations dans leurs ensembles s'opposeraient à un tel changement d'orientations et de perspectives qui bouleverserait le quotidien de chacun. Il y a fort à parier que les manifestations se multiplieraient, clamant que ce n'est pas juste et que ce qui fait la valeur d'une hiérarchie est sa différence sociale... Comme quoi, la non-intégrité n'est pas uniquement installée dans les plus hautes sphères des gouvernements. Chacun tient à son statut et à la reconnaissance de sa position sociale qui justifie ses privilèges.  
Pourtant si l'on développe l’incidence d'une telle utopie, les répercussions positives sur la vie collective et le bien-être de chacun ne peuvent être contestées.  La violence diminuerait. La recherche de monopoles n'aurait plus de raisons d'exister. La concurrence cesserait. L'obsession des bénéfices céderait la place à une recherche d'équilibre. Le pouvoir pour le pouvoir perdrait de son intérêt et tangiblement, naturellement, s'installerait une volonté d'équilibres et de solidarités qui donneraient une priorité au bien-être de tous au détriment d'une surconsommation qui n'aurait plus de raisons d'exister...     
Ce n'est pas uniquement l'affaire de quelques uns avides de pouvoirs, mais bien une affaire d'ego et du mental de chacun. Un mental perverti par une évolution individualiste qui a pour première règle: le chacun pour soi, même au détriment de son voisin...
Il serait intéressant pour chacun de se poser la question; jusqu'où serais-je près à aller dans mes concessions pour qu'une réelle évolution du bien-être de tous puisse se mettre en place ? Pour celui qui n'a rien, la question est vite réglée. Mais pour celui qui a un peu de biens...? Les concessions auront bien souvent une limite. Le lâcher- prise sur le sentiment de posséder qui rassure et satisfait l'ego s'autorisera quelques concessions mais jusqu'où...? Ce qui est à moi est à moi ! même chez les personnes qui s'estiment dans le cœur, supprimer  tous les privilèges, serait inconcevable...

Dans une vérité du cœur on a rien à donner. L'équilibre se situe aussi dans l'égalité pensée et effective. Si vous donnez, c'est que vous possédez quelque chose que les autres non pas. Ce qui met en avant une différence qui ne devrait pas exister. Dans un équilibre on partage mais la notion de donner ne peut exister. Sur un plan d'égalité on a tout à partager. L'amour, la confiance, le bien-être, les biens matériels, la nourriture, la joie, les plaisirs... Tout est sources de partages... Tant que l'esprit s'autorise d'avoir ce que les autres non pas, il y a incohérence et manque d'intégrités...
             
Ce tableau lourd où tous acceptent et s'accommodent du mal-vivre, représente une réalité. Il ne faut pas s'en détourner. C'est là que se situe une grande part de la difficulté d'Être... La mascarade du mental derrière laquelle chacun se réfugie doit être reconnue et mise au grand jour. Oser faire face à soi-même et démystifier le leurre qui fausse votre perception sur la réalité de qui vous êtes et de ce que vous pourriez vivre. Il y a des lourdeurs au plus profond de chacun qui détournent de l'intégrité.
Lorsque l'on parle du manque d'intégrités, l'image qui  représente cette dérive est celle des personnes qui, volontairement manipulent pour arriver à leurs fins. Le pouvoir bien compris que peut apporter la manipulation à qui sait l'utiliser. Des manipulateurs qui ne s'embarrassent pas des conséquences pour leurs "victimes". Une démarche machiavélique qui se justifie dans la pensée de l'instigateur, par la volonté de s'imposer et de se satisfaire. Cette manipulation est bien présente à l'échelle de la société mais aussi dans l'environnement proche de chacun. Cette image de la personne sans scrupule vient  à l'esprit quand on se penche sur le manque d'intégrités. C'est l'expression caricaturale qui cache une autre réalité. Le manque d'intégrités est avant tout un manque d'intégrités envers soi. Se voiler la face sur un désarroi, une tristesse, mais aussi sur l'attachement que l'on peut avoir à la valeur donnée aux matériels, aux privilèges, aux biens accumulés, à ce besoin de posséder que l'on estime justifié, pour ne pas avoir à se reconnaître dans ces travers. Refouler une réalité est un manque d'intégrités envers soi. Donner une importance démesurée au superficiel, pour ne pas voir l'essentiel.. Combien de personnes donnent une image d'elles-mêmes superficielle pour convaincre l'extérieur qu'elles sont heureuses  afin de s'auto-convaincre elles-mêmes qu'elles sont heureuses...? Le masque du paraître qui souvent dissimule une grande détresse mais aussi la prétention bien cachée qui se veut supérieure...   

Dans l'esprit (mental) les causes de ce mal-vivre viennent de l'extérieur. 
Je ne peux rien face à cette société qui s'impose et m'impose !
Les personnes que je fréquente ne sont pas dans une sincérité, la plupart trichent ! 
Qu'est-ce que je peux faire pour changer tout cela ?
Bien souvent le mal-vivre qui cherche une issue ne trouve pas de réponses à cette question. 
Une impuissance ressentie face aux difficultés. L'environnement, votre condition, votre situation, les autres, la société, sont responsables... C'est du moins ce que ces personnes dans leurs mal-vivres pensent. Ce n'est pas faux. L'extérieur a souvent une grande part de responsabilités, mais il est avant tout, important de balayer devant sa porte avant de montrer du doigt..

Tout pour le mental se rapporte à l'extérieur. La comparaison, le jugement, le constat, sont les bases sur lesquelles se repose le mental. On cherche les solutions aux problèmes qui se posent en se tournant vers l'extérieur. Quand une personne pense qu'il n'y a pas de solutions pour résoudre un mal-être, cela sous entend pas de solutions trouvées à l'extérieur.
Un conditionnement qui se réfère à la conviction que l'extérieur détermine l'état d'être. Si il y a solution elle se trouve nécessairement à l'extérieur. 
Mon environnement ne me convient pas. (l'extérieur)
Ma situation ne convient pas. (l'extérieur)
Mon travail ne me convient pas (l'extérieur)
Je n'ai pas d'amis sincères. (l'extérieur)
Je ne trouve pas un compagnon avec qui je puisse m'entendre. (l'extérieur)

Rien ne va dans ma vie ! Sous-entend, tout est négatif dans ce que j'entreprends ou ce qui se présente dans ma vie. (l'extérieur qui ne se prête pas à ce que la personne souhaiterait vivre).
Mais à l'inverse, qu'entreprennent ces personnes pour changer leurs perceptions d'eux-mêmes ? L'image que leur renvoie l'extérieur découle de ce qu'elles sont. Si l'orgueil est délaissé, une vérité du cœur apparaît. L'initiative entreprise ne sera plus la même. Dans cette vérité du cœur l'extérieur vous perçoit différemment et vous-même percevez l'extérieur différemment. Le relationnel trouve des bases saines pour s'investir. La sélection de son entourage se fait naturellement. L'intégrité attire l'intégrité et éloigne naturellement les acteurs qui se cachent derrière les masques du paraître. Une personne non-intègre finit toujours par se sentir mal à l'aise face à l'intégrité. Elle s'éloigne d'elle-même car le reflet de l'intégrité les renvoie à leurs propres travers. Des travers que ces personnes n'ont pas envie d'affronter.

Cette esquisse des plus sombres n'est pas la priorité de mes préoccupations. Mais elle existe ! Ne pas se voiler la face sur une réalité qui cache au plus profond de chacun,  des lourdeurs qu'il est nécessaire de reconnaître... 
La dualité n'existe que par la comparaison et la référence recherchée à l'extérieur. L'intégrité est une affaire du cœur. Avec le cœur vous prenez conscience d'une réalité sur vous-même dissimulée par un ego imbu de lui-même... Un constat reste stérile si il n'est pas reconnu comme matière à travailler. Des évidences que la banalité du quotidien passe sous silence. La facilité recherchée fait que bien des personnes refusent inconsciemment de se pencher sur elles-mêmes.  La peur de ce qu'elles sont susceptibles de découvrir... Pourtant l'investissement dans une volonté de se remettre en question peut permettre de changer radicalement sa vie... 
Dans ce débat intérieur où la dualité est régie par l'orgueil qui ne voit que ce qu'il a envie de voir, vous passez souvent à côté de relations vraies. L'importance donnée à ce que l'on veut ou voudrait dissimule la réalité des ressentis du cœur. Bien des personnes refusent d'admettre une réalité sur ce qu'elles sont et ce qu'elles ressentent. Elles ont une fausse image d'elles-mêmes. L'ego a une conception de ce qu'il est bien à lui. Et il n'en démord pas. Imbu de lui-même il s'exprime: Je sais ce que je suis, ce que je veux, et ce à quoi je peux prétendre !!! (toujours avec la référence qui s'appuie sur l'extérieur) 
La prétention amène à rechercher des rêves illusoires alors qu'il y a bien souvent un chemin simple qu'il suffit de s'autoriser à emprunter pour aimer et être heureux... 
                                                  Nn.               








vendredi 13 mars 2015

Des évidences mais aussi le chemin recherché de notre accomplissement...





J'ai puisé ici et là quelques informations élémentaires sur les processus qui créent la vie, à commencer par la vie du corps humain.
La base de ces informations est scientifique mais au-delà de cet aspect, imaginez ce monde. Ce monde vivant invisible à nos yeux. Un monde intelligent, organisé, structuré, interactif.

200 sortes de cellules et 50 000 milliards de cellules dans le corps humain (un nombre de cellules qui varie selon la masse et le poids)......


Ci-dessous un extrait d'un article de "les ateliers de Pasteur Lille" (institut Pasteur de Lille)
Une approche élémentaire. Chacun est plus ou moins en conscience de ce qui suit. Mais une conscience trop souvent délaissée. La somme des facteurs intervenants dans le processus de la vie et la fonctionnalité du corps humain interpellent le scientifique. Avec cette recherche d'évolutions il est aussi intéressant, pour chacun d'entre-nous de s'y arrêter... 



LES CELLULES

Qu'est-ce que c'est ?
La cellule est l'unité de base de constitution d'un organisme vivant. On a vu que le corps humain se composait de 50 000 milliards de cellules. 

Comment ça marche ?
La cellule fonctionne comme une petite usine, qui va produire des molécules nécessaires à son bon fonctionnement. Chaque organe, et donc chaque tissu qui le compose, sont composés d'un type de cellules différentes. Et chacun de ces types de cellules ont une fonction particulière à assurer. Et il y en a beaucoup : il existe plus de 200 sortes de cellules chez l'homme.
La fonction et l'apparence de chaque cellule sont définie par les molécules présentes et actives.

La division cellulaire
Mais au tout départ, le corps provient d'une seule cellule. Cette cellule est créée au moment de la fécondation d'un ovule par un spermatozoïde. 


Il va falloir des milliards de divisions cellulaires pour que cette cellule unique devienne un être humain !

Les premières nouvelles cellules sont parfaitement identiques à l'ovule fécondé. Les cellules vont commencer à se spécialiser à partir de la 8ème cellule. C'est à ce moment là qu'on va trouver des cellules spécialisées dans le transport d'oxygène, ou encore des cellules pour la fabrication de la peau... Le nom de cette division cellulaire est la mitose.
Les cellules sexuelles (les spermatozoïdes et les ovules) se divisent aussi, mais pas de la même manière. Elles ne peuvent se diviser trop souvent car ce sont elles, qui transmettent les informations nécessaires et le patrimoine héréditaire


La mort cellulaire
Les cellules ne peuvent pas vivre éternellement. Elles se divisent et meurent de façon à garder toujours le même nombre de cellules dans l'organisme. Mais comment la cellule sait-elle qu'elle doit mourir ?
En fait, à un moment donné, la cellule va recevoir un signal de son environnement qui lui ordonne de mourir. Quand ce moment est arrivé, elle va lancer un programme d'auto-destruction, qu'on appelle l'apoptose. Ce programme est contenu dans les gènes de la cellule, et il est nécessaire à la survie des êtres vivants. C'est grâce à ce programme que l'équilibre du nombre de cellules d'un être vivant reste constant.

Une cellule est l'élément fonctionnel et structural qui compose les tissus et organes des êtres vivants. Elle contient l'information génétique de l'individu et est à l'origine de la création biologique. 

Les chromosomes.
Structures microscopiques composées de molécules d'ADN et de protéines, les chromosomes sont localisés dans le noyau des cellules de notre organisme. Ils sont porteurs des gènes qui déterminent toutes les caractéristiques d'un individu : nombre de membres, couleurs des yeux, de la peau, etc.


200 sortes de cellules...50 000 milliards de cellules... et à l'intérieur de chaque cellule les molécules d'ADN... Essayez d'imaginer ce que cela peut représenter... 
Tout cela avec pour point de départ une seule cellule...

Essayez d'oublier votre existence humaine. Imaginez que vous faîtes parties de ce monde. Imaginez la coordination, le développement, les particularités de chaque cellule existante. Chaque cellule dans sa particularité se divise en deux. qui elles-mêmes se diviseront. Les tissus prennent formes, créent l'organe. Chaque organe est en relation direct avec les autres. Ils s'associent, transmettent l'information. Le corps se constitue dans une synchronisation parfaite. Les cellules doivent non-seulement assurer la fonctionnalité mais aussi l'entretien. Un organe déficient déstabilise le tout. Un nécessaire équilibre sans cesse recherché. Une responsabilité commune assumée envers ce tout. C'est à dire le corps. (CELA NE VOUS RAPPELLE RIEN...) 
Elles doivent aussi tenir compte de leurs durées de vies. Les cellules ont des durées de vies variables mais très courtes. Elles sont donc aussi obligées de prévoir et assurer leurs renouvellements.  Dans le même temps ces cellules, ce corps, doit aussi composer avec la volonté humaine qui impose une activité. Imaginez la somme de facteurs intervenants et le travail que cela représente. La vigilance nécessaire sur le propre fonctionnement de la cellule, mais aussi l'interaction constante qui doit être assumée dans une parfaite concordance et synchronicité avec l'ensemble.
Toute cette complexité, cette extraordinaire coordination crée la vie !

On peut aussi y ajouter les fonctions cognitives
 La cognition est le terme scientifique qui sert à désigner l'ensemble des processus mentaux qui se rapportent à la fonction de connaissance tels que la mémoire, le langage, le raisonnement, l'apprentissage, l'intelligence, la résolution de problèmes, la prise de décision, la perception ou l'attention.

Entre 86 et 100 milliards de neurones dans le cerveau. A savoir que le cerveau n'est pas le seul à contenir des neurones. L'intestin en compte à peu-près 200 millions... Toutes ces fonctions sont directement ou indirectement liées avec le rapport que nous avons avec l'extérieur. 

Avec un simple "bon sens" on peut en déduire que toute cette cohésion solidaire, attentive, responsable, devrait se reproduire tout naturellement dans nos comportements. Le sens des responsabilités solidaires devrait primer sur toutes formes d'individualismes et de séparations qui engendrent tant d'incohérences...

On peut aussi ajouter à tout cela la formidable organisation et les capacités de développements des écosystèmes. 
Divers, variés, les écosystèmes n'en sont pas moins organisés, structurés et forment des ensembles qui s'entretiennent, se développent, évoluent et créent des ensembles cohérents où tout est interconnecté pour un équilibre nécessaire à la vie. 

En ayant conscience de ces formidables chaînes de cohérences, de solidarités, nous ne pouvons qu'admettre que nous avons tout, absolument tout à disposition pour gérer une vie individuelle et collective dans les meilleurs conditions. Plus que cela ! Si l'on pouvait comparaître le nombre de paramètres gérés par le corps humains et le nombre de ses défaillances, on s'apercevrait que le nombre d'erreurs ou d'incohérences est infime.

Reproduire l'esprit solidaire et responsable de ces milliards de cellules dans la gestion de nos vies ne peut qu'être la continuité incontournable de ce que nous sommes et de notre évolution.... La voie du cœur est issue de ce monde solidaire. C'est aussi la nature de l'esprit. Il ne peut en être autrement. Le mental est à des années lumières d'une telle maîtrise.      
En matières quantitatives tous ces chiffres avancés laissent loin derrière les quelques 7.3 milliards d'humains présents sur cette terre. 7.3 milliards d'individus incapables de s'entendre. De l'autre 50000 milliards de cellules qui sont solidaires les unes des autres. (...?) Il n'est pas bien difficile d'imaginer d'où viennent nos ressentis et l'importance d'en tenir compte...

Même si cela peut sembler hors sujet, cette formidable, extraordinaire, coordination qui assume avec maîtrise autant de paramètres chez l'être humain, me laisse songeur. L'incapacité de l'humain à gérer sa vie individuelle et collective dans une harmonie de l'ensemble pose questions...
La référence et l'exemple que nous donne le corps humain, ne sont pas un exemple, c'est ce que nous sommes dans notre nature profonde. Reconnaître cela, et le  pouvoir recherché du mental perd toutes crédibilités, tout sens. Cette volonté du mental de s'imposer est supportée par l'inconscient mais en aucun cas, cet inconscient ne la cautionne. Pour l'inconscient la recherche de dominations du mental apparaît comme un dysfonctionnement qui n'a pas lieu d'être. Une prétention mentale qui n'est pas au millième et même sans aucun doute, bien plus éloignée que cela, de la capacité de clairvoyances du cœur. Pourtant cette prétention nous handicape au plus au point.           


L'esprit en recherches constantes de maîtrises où l'objectif est une évolution en harmonie de l'ensemble. Un équilibre constant recherché, pour que cet ensemble soit créateur. 
La conscience est le reflet de cette immense chaîne de solidarités. 
De la première cellule qui crée un être humain jusqu'à son autonomie, une autonomie qui évolue dans un monde où tout est organisé, structuré pour lui permettre d'évoluer,  il est évident que dans ce monde, la dérive du mental n'a pas sa place.

Un ensemble dissonant génère désaccords, oppositions, rivalités, conflits. Cela ne peut être constructif. Une réalité involutive à contre sens de l'évolution de la vie, à contre sens de l'avancée de l'univers.

Par le mental l'esprit s'est donné les moyens de s'adapter  et comprendre ce monde duel. Mais il n'est qu'accessoire... Sa prise de pouvoir qui rejette systématiquement le sens naturel d'une évolution sera nécessairement éradiquée.   

Le mental est une adaptation provisoire de l'esprit...

Actuellement, le cœur par l'esprit reprend ses droits. L'esprit réintègre sa fonction première multidimensionnelle et universelle. 

La capacité mentale a fait son office, apporté ce qu'elle devait apporter comme connaissances. Le mental doit maintenant s'effacer tout en laissant à l'esprit la somme de connaissances qui a  été engrangée. La terre monte ses vibrations et chacun accompagne cette élévation. La capacité du lâcher-prise individuel, permettra de suivre ou non la montée vibratoire de la terre. 

Toute matière vivante a son aspect spécifique et unique mais dépend des autres pour exister.
C'est ce que le niveau 3D par ses vibrations d'un niveau trop bas n'arrive pas à intégrer. 

Tout est par nature interdépendant. Le sens de l'existence ne peut qu'être commun et solidaire. L'approche mentale est liée à la matière et à la diversité existante sur cette planète. Le rapport de causes à effets représente l'apprentissage nécessaire de l'esprit qui cherche, maîtrise et équilibre dans ce monde duel. Recherche d'une coexistence harmonieuse entre la pensée, produit de l'esprit, et les facteurs qui découlent d'un monde matière. 

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De l'éther à la matière, de la matière à l'éther...
L'univers... 
Un ensemble d'énergies multiples, divers et variées qui par interactions crée en permanence... Des énergies qui créent la vie dans tout l'univers. Il est étonnant de constater que l'humain ait tant de mal à admettre qu'une entité éther douée d'intelligences puisse exister...


La matière est une concentration d’énergies
Le point de départ de la matière est formé par des énergies.  Le corps humain dans son ensemble n'échappe pas à cette règle. Pour que toutes ces énergies s'organisent dans un ensemble cohérent il y a nécessité d'une information échangée. (...) Trois facteurs étroitement reliés: l’énergie, l’information, la matière. 
L’être humain est formé d’un corps physique mais aussi  d’autres corps : les corps énergétiques: corps éthérique, astral, mental, spirituel.
Divers énergies fusionnent, crées une entité éther. Cette entité éther avec les spécificités et capacités de chacune des énergies qui la compose et la mémoire active de chacune d'entre-elles, permet au fil de l'évolution une maîtrise et un discernement qui mènent à l'intelligence développée... Cette entité éther sera alors en capacités de créer une forme et une intelligence matière...
Chaque association d'énergies est orchestrée pour une évolution. Créations chaque fois plus complexe pour une maîtrise de plus en plus pointue. Une mémoire qui s'étoffe, s'enrichit au fil de son évolution. De l'éther à la matière l'univers sait faire. C'est à l'infini et il ne cesse de créer par associations d'énergies conscientes qui s'auto-expérimentent. L'univers, les énergies dans leurs ensembles, sont une unique et même chose. Contrairement à notre vision humaine les énergies sont solidaires et collaborent pour des fusions en recherches de diversités éthers, puis matières, qui à chaque nouvel ensemble et dosage forme et apporte de nouvelles perspectives. Chacune de ces perspectives une fois réalisée est destinée à une autonomie. Cette autonomie une fois atteinte doit par elle-même retourner à l'état éther en conscience pour finaliser la maîtrise de sa propre création.
L'accomplissement d'une création en conscience d'elle-même.

Associations d'énergies ---- création d'une entité éther ---- cette entité éther crée la matière ---- autonomie recherchée par évolutions successives ----  Conscience de sa nature retrouvée ---- Retour en conscience et en toutes maîtrises, de la matière à l'éther...

Cela donne naissance à une Entité accomplie et en capacités de s'inscrire, et œuvrer pour une aide dans les difficultés qui se présentent à chaque monde naissant, dans son évolution... toujours cette solidarité en actions... 

Cette maîtrise ne se limite pas à notre environnement terrestre. Les énergies ont la possibilité de communiquer entre-elles au delà de ce que nous sommes et de ce monde. Les autres forment de vies dont la nature est aussi composée d'énergies identiques aux nôtres, permettent une possible communication dans tout l'univers. Intégrer que cette communication n'est pas tributaire de la distance, ni du temps, c'est instantanée. Tout comme notre âme, résultat d'associations énergétiques, est en capacité de se propulser vers d'autres planètes, d'autres galaxies...

La terre a évolué jusqu'à produire à sa surface les conditions d'un "paradis" tel qu'on le nomme. 
Cela représente le sens naturel mis en application d'une évolution énergétique recherchée... 
L'évolution sur cette terre, consiste à peaufiner et créer des conditions de plus en plus libérée des contraintes, des limites, qui non pas lieux d'être. L'humain est sensé participer a cette libération et dans le même temps améliorer sa propre évolution. 

Une maîtrise recherchée est atteinte dans bien des formes de vies de la création... L'humain a les moyens de cette maîtrise.
Cette maîtrise n'est qu'une étape.
Savoir que tout est questions d'équilibres. Un équilibre qui mène à l'harmonie. Dans une évolution plus lointaine, l'équilibre se recherche aussi dans la densité de la matière. Notre densité est étroitement liée à notre évolution. Le corps, pour l'humain évolué recherchera le juste équilibre entre la densité de la matière qui le compose et la "densité" éther de l'âme pour disposer d'encore plus d'autonomies. Les lourdeurs qui encombrent l'esprit sont directement liées au corps matière. Les énergies qui composent notre âme œuvrent en parfaites  synchronicités avec les énergies du corps matière pour une fusion à venir qui se déjouera de la gravité, des distances, du temps et des obstacles...
                                                                    Nn.