samedi 16 mai 2015

Dessiner un nouvel horizon ! Ensemble ! Unis et solidaires !!!



Un imprévu...
L'angle abordé dans le message précédent peut surprendre. En relisant ce message après sa publication, je me suis surpris moi-même. Un changement d'orientations. Une implication imprévue. La réflexion me pose questions...
Dois-je approfondir le message précédent ou m'abstenir ?
Dans un premier temps ce dilemme ne trouvait pas de réponses.
Que m'apporterait un engagement plus avant ?
Un ego qui se satisferait ? Ou le cœur qui cherche sa voie ?
Peu importe que l’écho de mes messages porte et soit entendu ou que ces vues personnelles restent lettres mortes. S'impose derrière ces vues, la recherche d'un accomplissement. Un chemin à suivre...
Je vois trop de personnes résignées, qui ne s'expriment pas... qui ne s'expriment plus... Le renoncement... Désabusées ou s'impliquant de toutes leurs énergies pour chercher à se prouver qu'elles peuvent y arriver. Arriver à quoi ? Un combat perpétuel avec, non pas la vie, mais avec la pression imposée par cette société... 
Garder au fond de soi  ce qui ne demande qu'à s'exprimer n'est pas dans ma conception de l'état d'Être. Que mes vues soient solidement étayées ou délires inconscients, il est une certitude : elles me feront avancer...

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L'optimisme n'est pas de rigueur en ces temps si particuliers. Bien des personnes ressentent le poids de l'inconscience humaine. Une société à bout de souffle. Une économie mondiale moribonde. Les ressources de la planète qui s'amenuisent. La folie humaine qui ne respecte rien. Le ressenti mène à penser qu'il n'y a pas de sorties de secours. Pourtant nous sommes toujours là ! Un destin individuel et collectif qui se cherche. Baisser les bras serait l'aveu de notre reddition, de notre renoncement. Rien n'est définitif. L'essentiel pour chacun d'entre-nous n'est-il pas de s'accomplir ? trouver sa voie ? Poursuivre notre chemin pour retrouver nos racines et se reconnaître au-delà du leurre imposé...

Ce mettre en accords avec soi-même...

Propulsé à la naissance dans un monde inconnu, sans mémoire, la désorientation est des plus difficiles à surmonter. Où trouver des repères qui semblent correspondre à ce que nous ressentons...? 
La société, elle, a ses règles. Des règles qui sont à l'opposées de ce que notre nature nous dicte. Pris, dès notre naissance dans l'engrenage, le débat entre nos valeurs humaines et le système qui a tout verrouillé est décisif. Un débat intérieur où l'esprit essaie de se situer entre ces deux opposés. Ce débat finit par un renoncement. Tout dans ce système est fait pour que vous renonciez à vos valeurs humaines... N'ayant d'autres choix, vous finissez par accepter d'entrer dans le moule imposé. Commence alors la création d'une nouvelle identité: L'homme ! 
Vous vous créez une image conforme à ce que la société attend de vous. Vous acceptez les règles et entrez dans l'arène.   Par ces règles imposées l'humanité se divise en deux. D'un côté les dominants, de l'autre les dominés. Les exploitants, les exploités... Il n'y a pas d'égalité. Vous êtes soi d'un côté, soi de l'autre. Plus vous vous imposez et plus la mise récoltée est importante. L'ego prend des proportions à la mesure de la mise engrangée. Une satisfaction qui donne l'impression d'une puissance. Quelle puissance ? Le pouvoir ? Tout cela n'est qu'une illusion, mais l'ego s'en satisfait. 
La démarche de cette société ne peut exister sans votre adhésion. C'est en cela que la remise en question, est primordiale. Pourquoi cette remise en question ? Un ordre du jour qui s'impose. Difficile de le nier tant l'investissement d'une partie de l'humanité s'y intéresse.
Une minorité, certes ! mais le vent souffle dans ce sens. Prend de l'ampleur, une puissance qui ne peut plus être contestée. Il est évident que nous sommes dans une ère où l'esprit cherche à retrouver ses origines et sa liberté. L'émergence d'une nouvelle approche de la vie pour renouer avec nos racines.   

Il m'a fallu du temps. Du temps et des expériences vécues pour comprendre...

Sous la pression de cette société je me suis créé une identité. J'ai renié mes ressentis pour satisfaire ce monde d'illusions. Jamais cette identité ne m'a satisfaite. Ne pas être soi-même est comme un traitement psychotrope que vous vous imposez et ce, à chaque instant, afin d'entretenir l'illusion. Un palliatif, faute d'avoir la liberté d'être et de vivre par soi-même. Une ombre qui cherche sa lumière...
Le renoncement à nos valeurs humaines en début de vie, est une erreur. Une erreur qu'il est temps de reconnaître et de corriger. En revenir à notre vraie nature. Laisser parler nos ressentis du cœur. Ce qui importe ce n'est pas cet autre, celui que vous avez créé par défaut, mais celui qui renaît à la vie, à l'amour... La dérive de l'image créée n'a pas à vous culpabiliser. Seule compte votre identité humaine retrouvée...
Vous avez deux identités. Celle que vous utilisez dans ce monde et votre identité originelle qui représente la réalité de votre véritable nature. La première créée par obligations pour survivre dans cette société... Pour chacun cette identité non conforme à notre nature à pris des chemins différents. Certains s'en sont accommodés. D'autres ont baissé les bras et subissent. La frustration et les angoisses qui découlent des difficultés deviennent alors un fardeau difficile à porter...
La division fait naître un isolement où chacun est sur la défensive. Une jungle où individuellement et collectivement on perçoit l'extérieur comme une possible menace.
Toute cette structure basée sur l'individualisme est le résultat de l'ego.
L'ego est constamment sur la défensive. Il en vient à la réaction où le principe est de s'imposer pour éviter de subir...
Individuellement, vous vous êtes taillés un habit identitaire avec les moyens et les outils dont vous disposiez. Une identité qui ne vous correspond pas et que vous avez confectionnée du mieux que vous pouviez. Cet habit masque la vraie nature de chacun. Même si cet habit vous semble taillé sur mesure, cela reste un apparat superficiel qui n'est qu'une apparence. C'est en conscience de cela que vous devez regarder l'autre. 
Avec cet autre regard vous comprenez que l'on ne peut être dans le jugement...
Chacun s'est affublé d'une apparence avec les moyens dont il disposait. Des oripeaux de la frustration, de la rancune, de la colère face aux inégalités en passant par les costumes sur mesures qui mènent à la suffisance, à l'absurde, aux cynismes, à la démagogie... Tous reflètent une apparence, rien qu'une apparence... La réalité de l'humain est une réalité du cœur. Seul l'inconnu d'un monde dont nous ignorions tout nous a amené à des dérives et des extrêmes...
En revenir à notre identité première est en fait, consciemment ou inconsciemment,  le seul et unique objectif que nous nous sommes fixés...   

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Politiquement, prétendre que les décisions imposées sont pour le bien de la communauté, ne peut justifier la dérive du contraindre qui réduit les libertés... Du moins dans un pays qui se dit démocratique. Imposer, contraindre dans une volonté de contrôles n'est et ne sera jamais dans l'intégrité ni dans le respect de l'identité humaine... C'est une restriction des libertés. Une restriction des libertés alors qu'un état dit démocratique est en principe le garant de ces libertés. (...?) Si les gouvernements estiment qu'il n'y a pas d'autres alternatives c'est, par évidence non-contestable, le système qui ne répond plus à l'évolution de la société. Invoquer les problèmes de sécurités pour justifier la restriction des libertés ou pour imposer un contrôle, ne change rien. C'est toujours l'aveu d'une incompétence du système à assumer ses responsabilités. Quand le système de société ne répond plus à l'étique et à la déontologie dont il est issu et s'engage sur la voie de la régression il n'y a plus qu'à admettre qu'il faut en changer...

Selon la célèbre formule d'Abraham Lincoln la démocratie représente :

"le gouvernement du peuple, par le peuple, pour le peuple."
C'est l'une des définitions couramment reprise. Cela mérite, individuellement, et ce, qu'elle que soit la position et la nationalité de chacun, de s'y arrêter:

"par le peuple" (...?) "Pour le peuple" (...?) La réflexion amène à reconnaître la défection du peuple dans la première citation et la défaillance des gouvernements dans la deuxième...  

Ce développement et cette conclusion ne traversent t-ils jamais l'esprit des politiciens ? J'en doute ! Le silence sur cette problématique entre la préservation des libertés et dans le même temps assurer la sécurité, ce silence laisse un vide qui soulève des interrogations... Si ce ne sont pas les compétences mais le système qui ne permet plus de garantir à la fois, les libertés et la sécurité, c'est aux hommes politiques de mettre au grand jour cette problématique... Ce silence joue en leurs défaveurs. Remettre en cause le système ce n'est pas remettre en cause les politiciens... Si le système est défaillant il est impératif de l'admettre et de tout mettre en oeuvre, pour changer d'orientations... Ce n'est pas en se voilant la face que le problème trouvera une solution...
Si nous prenons l'exemple Français, la France est passée de la royauté à la république. Un changement radical de la société. Un accouchement dans la douleur obtenu aux forceps. La violence et le chaos de cet accouchement furent le résultat d'une incapacité et d'une volonté bornée des instances qui régentaient le pouvoir de cette époque à ne pas reconnaître la fin d'un régime. La nécessité incontournable d'en changer.
Trop bien dans leurs conforts égocentriques, ils n'ont pas admis ni compris que, quoi qu'ils fassent le temps de la royauté était terminé. Il n'ont pas compris qu'un vent nouveau imposait une ère nouvelle et que rien ne pourrait l'arrêter.
Les instances dirigeantes, qu'elles soient politiques ou financières, se leurrent et ne conçoivent pas la possibilité d'un virage à 180° de la société. Les puissants de ce monde ne veulent admettre l'irrémédiable déclin de ce système.

L'histoire... Les faits... Le constat... Les perspectives...  parlent par eux-mêmes. Tout nous montre l'insoluble possibilité d'évoluer positivement dans ce système de sociétés.  

Les instances qui détiennent le pouvoir se sont octroyés les clefs des libertés de chacun, sont-elles incapables de sortir du concept qui consiste à imposer pour maintenir à flot un navire qui prend l'eau ? Un navire vieillissant, agonisant, qui a fait son temps et finira, que ces instances qui détiennent le pouvoir le veuillent ou non, par couler...
Tout repose sur un choix: Le système ou l'humanité...

Aujourd'hui, en ces temps chaotiques, la perspective d'un changement abordé dans l'intelligence et la solidarité restera-elle lettre morte ? 

Ceux qui ressentent le poids et le subir qu'impose cette société, à la lecture de ce que je viens de développer seront peut-être tentés d’adhérer à cette vue. Mais ne vous emballez pas. Car de toutes ces dérives émergent une évidence: 

Le principal responsable de cette situation qui paraît inextricable, c'est vous, individuellement !!!
Les conséquences du développement que je viens d'effectuer, ne sont pas plus imputables aux politiciens qu'à la population. Et là je prends un virage à 180°. Le politicien s'investit. Est-il toujours dans une intégrité est une question que l'on peut se retourner à soi-même... La plus grande peur du politicien est d'être discrédité. C'est ce handicap qui le mène à limiter ses initiatives.
C'est le soutien à un gouvernement par la participation qui permet une marge de manœuvres en proportions avec les problèmes abordés. Encore faut-il créer une cohésion par une solidarité recherchée entre la population et le gouvernement. Cohésions et solidarités ne sont jamais possibles quand on impose et contraint. Des restrictions qui représentent un recul et non une avancée ...
Il est certain que les déchirements entre les partis politiques sont loin de montrer l'exemple sur une unité humaine recherchée. L'ego se mêle à la sincérité des convictions et il est bien difficile de savoir lequel des deux prend le dessus... Sans l'ego l'approche serait totalement différente. Les dissensions politiques sont le reflet de cette société. Doit-on rester sur cette approche stérile...?     
La qualité de vie de dizaines de millions de personnes ne peut reposer sur quelques dizaines, centaines ou mêmes milliers de personnes. C'est de la responsabilité de tous. 

On prend la main d'un enfant pour le guider, l'aider à discerner ce qui lui sera profitable de ce qui est susceptible de lui nuire. Quelle différence y a t-il entre un enfant sous tutelle d'un adulte et... vous , sous tutelle d'un gouvernement ? La différence est qu'un enfant n'a pas encore atteint l'âge de la maturité. (...?)
Il y a là aussi, une réelle problématique. De causes à effets, cette défection de chacun  engendre les carences et dérives constatées.

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Au delà d'un quotidien à assumer, reste sous-jacent la question du pourquoi tant d’incohérences et de difficultés dans ce monde désordonné ? Nous ne sommes plus dans un possible positif mais pris dans un engrenage négatif où le pessimisme côtoie la résignation. L'humain se débat avec un système de pensées réducteurs qui le limite dans la projection des possibles. Il n'ose croire en une unification solidaire de l'humanité.

Un original ! s'exclameront certains.

Un inconscient qui propose une vision futuriste utopique ! penseront d'autres.

Pourtant si vous élargissez votre angle de vues, même dans l'utopie, quel possible peut offrir un avenir plus lumineux que celui d'une humanité unie, solidaire qui avance dans une volonté commune de partages pour le bien-être de tous...? Même avec un esprit créatif très développé, vous ne trouverez pas l'équivalence... 

Comment passer d'une vision étriquée, réductrice, à un esprit qui se donne les moyens d'atteindre son plein potentiel ???
Les moyens vous les avez ! Le problème est un manque de confiances. Un manque de confiances en vous, un manque de confiances en l'humain...
J'entends tout haut ce que certains pensent: comment être dans la confiance quand on constate les incohérences, les non sens, la suffisance, l'orgueil, les désordres, la violence, qu'engendre l'humain ?
Je ne pense pas me tromper en vous faisant remarquer que vous-mêmes êtes humains. (...?) Si vous pensez que vous pourriez vous investir dans un esprit solidaire, pourquoi cela serait-il inaccessible aux autres...?

L'humain n'est pas forcément intéressé par ce genre de développements. Pour certains, les seules préoccupations se résument au quotidien. Assumer dans une vue égocentrique, un bien-être recherché. Comment inciter la majorité des personnes à poser un regard intéressé sur une autre perception de la vie...?


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Des pistes, ils en existent !!!

Une piste est une voie à explorer. Rien ne permet d'affirmer qu'une piste proposée soit la solution à adopter. Seules l'étude et l'expérimentation peuvent valider ou écarter sa mise en applications. 

Entretenir l'isolement, la séparation ou développer la solidarité par la participation ? 
Le système est basé sur l'idée qu'il y a d'un côté le monde politique, les gouvernements, de l'autre les populations. Si vous réalisez que nous sommes tous humains, l'intérêt pour le bien de tous est de collaborer. S'ouvre alors une autre perspective. Tant qu'il n'y aura pas une volonté de resserrer les liens de la communauté (politiques et populations) par l'engagement et la participation de tous, le cloisonnement existant ne permettra jamais un dialogue constructif. Comment se comprendre quand il n'y a pas de dialogues et d'échanges ?
Actuellement le dialogue est à sens unique. Les politiciens décident sans avoir l'aval de la population. La population écoute sans pour autant toujours entendre, prend acte sans avoir un droit d'interventions avant que les décisions soient entérinées...?
Sans entrer dans les détails les moyens informatiques sont un possible pour sonder l'avis et les ressentis de la communauté. Créer un site où y est exposé les problématiques les plus sensibles. Utiliser une large campagne d'informations pour sensibiliser et inciter le public à participer 
Avant de voter une loi, exposer la problématique en utilisant tous les moyens d'informations comme supports afin que la population puisse mesurer l'impact et les conséquences d'une loi  éventuelle. Il n'est pas besoin de débats interminables, juste exposer une orientation possible ou une problématique qui requière l'attention de tous. Ensuite sonder le ressenti de la population, par de simples questions. 
Exemple: Faut-il introduire les valeurs républicaines dans les programmes scolaires ? Oui- Non.
En complément créer un espace de propositions.
Il n'est pas besoin de passer par les bureaux de vote pour avoir le sentiment de la population sur un sujet sensible. Au dessus d'un gouvernement le référent c'est le peuple !!! Certains peuvent rétorquer que cela existe déjà. Non ! la population est spectatrice et non actrice, pour exemple, les débats de l'assemblée nationale,... Développer le sentiment de participations. Être chacun un acteur de la vie communautaire. L'intérêt et la motivation n'auront plus rien à voir avec un état d'esprit qui doit se contenter d'accepter ce qui est imposé... Il ne peut y avoir de comparaisons possibles entre le constat et la participation.  
Cela reste, bien sûr, une piste qui demande à être étudiée. Voir même une proposition différente dans le même esprit. Si dans le passé une telle approche n'était pas envisageable par manque de moyens techniques, ce n'est plus le cas aujourd'hui. Comme écrit plus haut: le référent c'est le peuple ! En s'investissant dans cet esprit de multiples possibles sont envisageables.

C'est dans un état d'esprit positif de toute la communauté que se trouve les clefs d'un véritable changement. 
Un engouement général entraîne une motivation et la motivation mène à l'action...    Les possibles dans cet esprit touchent de nombreux secteurs. Telle l'éducation nationale. La réforme de l'éducation nationale est une priorité. Pas de ces réformes qui cherchent à adapter la jeunesse au système. Non ! Tout remettre à plat. Aborder l'éducation des enfants différemment. Un esprit dans toutes les disciplines qui valorisent les valeurs de la vie. Une autre pédagogie qui valorise l'humain et non le système. Pour valoriser la vie il faut un support. Envisager l'introduction d'un nouveau programme, une nouvelle matière: La vie ! L'étude de tout ce qu'elle représente et notre responsabilité envers elle. Sans qu'il y ait besoin pour cela d'y ajouter des disciplines réductrices, qui se limitent aux frontières qui elles, n'ont rien de naturelles.
Le sens et la valeur du respect s'installeraient naturellement. Entre le devoir imposé, réglementé, et le sens naturel du respect de la vie qui découle d'une prise de conscience, le bon-sens n'a pas d'hésitations. Un sens du respect développé par un enseignement qui génère le sentiment d'émerveillements et de la responsabilité. Cela porterait ses fruits au fil de la scolarité. Nous pourrions sereinement assister à la naissance de l'humain qui délaisserait l'homme au profit de la nature et de la planète. Un mieux vivre, une nouvelle approche de la vie. Ce n'est pas pour autant que serait négligé l'intégration de la jeunesse dans la société. Seul l'esprit changerait...  Cette projection est-elle totalement utopique ?
     

Je suis certain que beaucoup d'entre-vous pourraient amener leurs contributions et proposer des voies à explorer...

Dans le monde existe de multiples initiatives. Des humains s'investissent et cherchent des solutions. Un engagement individuel et collectif dans différents domaines: humanitaires, écologiques, une autre approche de la vie, une solidarité recherchée... Des courants d'actions et de pensées qui ne baissent pas les bras. Ce ne sont pas tous de grosses structures nationales ou internationales. Les associations locales offrent de multiples possibilités et ce dans tous les domaines. Même sur le plan individuel, un grand nombre de personnes partagent leurs vues sur une autre perception de la vie. Une conversation, un débat entre amis, une aide, un geste solidaire, une parole réconfortante... Les voies possibles du cœur n'ont pas de limites et sont à explorer.
Le système associatif est en lui-même un domaine qui détient un potentiel à développer.
L'information.. Combien de personnes sortent du journal télévisé "plombées" le moral à zéro ? Si il y a le constat des éléments négatifs, il doit y avoir en mêmes proportions les possibles solutions. Là aussi, dans l'information créer un autre état d'esprit. Même si le journal du 20h. doit durer une heure celui qui suit l'information doit en sortir avec la conviction que les problèmes exposés trouveront leurs solutions et non ressortir dans un pessimisme qui lui mine le moral... Dépasser le constat qui donne un ressenti d'impuissances. Apporter le sentiment que l'humain est en mesure de faire face aux problèmes et difficultés posés...

L'humain doit croire en ce qu'il est! Un potentiel énorme qui ne peut s'exprimer que dans la solidarité et dans une unité qui a foi en ses capacités.

Il y a bien d'autres pistes. J'expose ces quelques perspectives, qui en évidences démontrent qu'il existe des voies possibles. Le système économique existant est sans avenir. Dans ce nouvel état d'esprits, existe des solutions. Se servir du système pour contrebalancer la puissance des multinationales en se donnant les moyens de réduire les différences financières entre l'état (c'est à dire la population dans son ensemble) et les puissances privées. C'est possible ! L'état s'est depuis trop longtemps limité à un rôle de gestionnaire. Dans un regroupement, une même volonté, réunir le gouvernement et la population. Face à un  élan où la cohésion est sans faille, aucune puissance financière ne peut rivaliser.
Je ne suis pas dans l'esprit d'un programme politique. Juste démontrer que tout tient dans l'union, la participation et une volonté commune... Vous pouvez constater que l'implication du cœur peut ouvrir de nouveaux horizons. Il suffit d'avoir la confiance et de s'investir!!! 
Même si ces quelques exemples ne sont pas simples à aborder, une évidence en ressort: la séparation, le cloisonnement montrent leurs limites. Il n'y a plus d'issues positives sans la participation de tous. Le fossé entre les instances dirigeantes et les populations doit être comblé. La participation de tous est le ciment de l'édifice novateur qui ouvre une nouvelle perspective. La naissance d'un engouement qui rassemble, unie, et permet d'entrevoir un avenir lumineux.
                                            Nn.

 
         

    

   

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